Jean-Christophe DOUZIECH

Actualités

Ecritures ©

J'ouvre grand les yeux

Et je goûte

A la la solitude  bienheureuse

Des plantes 

 

 

 

Un mot invisible

S'est posé sur mon coeur

Ni d'Occident, ni de Chine

Ni d'ici, ni d'ailleurs

Un mot sans émoi

Sans couleur

Sans identité

Et pourtant

Un mot qui s'étend

Qui étend des bras

Des bras invisibles

Des rouleaux d'océans

Coquillages sans rivage

Ni d'après, ni d'avant

 

 

 

L'observation intérieure

Est le don de la vie

 

Ecritures ©

 

Prendre son pouls,

S'approcher de son coeur,

De sa dynamique intime,

Du tendre point 

D'où jaillit la Vie

 

 

 

Partout où je plonge

Le regard

Je rencontre 

La Vie

 

 

 

                         SI JE ME FAIS PETIT

Je ferme les yeux

Pour mieux voir

Je ferme les yeux

Pour mieux entendre

Si je me fais petit

Je verrai d'où je viens

Si je me fais petit

Je serai qui je suis

Au fond de la nuit

Si près, si loin

Je tire du puits

Une coupe de vin

Si je me fais petit

Je verrai d'où je viens

Si je me fais petit

Je serai qui je suis

Je tombe peu à peu

Pour Te voir

J'abandonne le bleu,

Le blanc et le noir

Car si je n'ai plus rien

Je verrai d'où je viens 

Si je me fais petit

Je serai qui  je suis

 

Le silence est le médicament du cerveau ! 

 

 

Cherche en toi le parfum

Qui te fera t'évanouir!

 

 

Je marche libre dans le vaisseau du corps

en route vers la joie

 

 

Oh ! Amour ! Pourquoi se refuser tant à Toi ?

L’instant du ciel est là,

Ouvre les yeux et vois !

Vois tout ce qu’il contient.

Pauvre fou !

Serrer la main du ciel

Est bien plus facile

Qu’imaginer sortir de l’infini.

Si tu voyais ce qu’il y a quand tu ouvres les yeux,

Tu verrais le calme au cœur des tempêtes,

Tu sentirais la bise d’été

Sur ton front rire de la tornade.

Tu pourrais les fermer alors,

ton propre cœur t’engloutirais,

Il ne resterait rien de toi sauf un secret du bonheur !

Il ne faut rien mêler à Cela pour le préserver

Sinon tu retourneras au passé

Et tu seras le jouet du monde.

Si tu vois qu’il n’y a que Lui

Tu pourras voir les autres à travers Lui,

Tu les verras beaux comme des cieux

Dont tu ne pourrais imaginer la profondeur.

Préserve donc Son regard

Et tu verras le monde tel qu’il est,

Tu le verras comme il se doit et c’est ton droit !

Vois la douceur du doigt d’un pied jaillir  Jusqu’aux cheveux

Et joue à te perdre de boucles en boucles.

Sens le corps, cette immensité,

Cette unité de ton cœur qui bat !

Garde ce secret !

 

 

 

                                                                                              RESSOURCES

 

                                          Le livre de Jean-Louis Brinette en Pdfhttp://etiomedecine.fr 

 

 

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